Une fois apaisé les brouhahas des divinités au coeur de son être, Prometheus agit en véritable maître de céans, apprivoisant l'ambiance choatique. Il tendait maintenant la main vers Aphrodite, la déesse grecque de l'amour et de la beauté. Sa présence était un océan de tranquillité, de sérénité - une berceuse douce parmi les chansons de guerre. S'adressant à elle, il évoqua doucement son nom, une lueur d'espoir dans les yeux. Pendant un moment, il n'y eut rien que le silence puis une douce sensation de chaleur lui envahit le coeur. Aphrodite s'était éveillée et ses doux murmures retentissaient à travers lui. Avec une matrilocalité affectueuse, elle écouta la requête de Prometheus et accepta, promettant d'apaiser les cœurs des chefs de guerre galactiques. Avec l'aide de l'Œil de Démnos, Prometheus avait réussi à créer un portail direct vers les chefs de guerre. A travers ce dernier, il permit à Aphrodite d'infuser de sa touchante énergie les cœurs torturés des généraux. Un à un, leurs visages se transforment, due à l'influence soudaine de l'amour et de la compassion. Toutefois, n'étant pas un simple spectateur pendant tout ce temps, il projeta sa conscience à travers l'Œil, se matérialisant sous la forme d'un hologramme devant les chefs de guerre. La beauté transcendante et l'aura pacifique d'Aphrodite à ses côtés, il commença alors à négocier avec eux une trêve, un cessé-le-feu, bien qu'annoncé de manière temporaire dans l'ambiance de tension palpable. Il était maintenant sur le plateau de la diplomacie, avec la sûreté que seule la guidance divine pouvait lui conférer. Son audace était sans précédent, son ingénuité renforcée par l'espoir de stopper une guerre galactique. Dans cette quête de la paix, Prometheus s'était fait le champion des dieux, un lien entre le divin et l'humanité, un messager des cieux à l'horloge du destin.