D'un geste hésitant, Andréa glisse sa main dans celle de l'homme, son amour interdit. Eos, capitaine de vaisseau célèbre pour ses activités audacieuses, l'étranger de la galaxie Céruléenne, celui qui est censé être son ennemi. Les yeux de cet homme, d'un bleu aussi profond que les mystérieuses nébuleuses de leur univers, semblent briller d'une lumière familière, celle d'un feu ardent que seule la plus pure des affections peut allumer. Andréa sent une vague de chaleur envahir son corps, défiant la froideur habituelle des cavernes souterraines de sa planète d'exil. Leur amour naissant est dangereux, mais Andréa refuse de le cacher. Annonçant sa déclaration comme une étoile affrontant vaillamment la noirceur du cosmos, elle murmure simplement : 'Je t'aime, Eos.'. Au début, l'homme ne répond pas, mais son visage se détend, un sourire se formant doucement sur ses lèvres. 'Je t'aime aussi, Andréa,' dit-il finalement, sa voix aussi rauque que la rugosité des planètes colonisées. C'est alors qu'ils scellent leur amour interdit par un baiser doux et passionné, sous la lumière éclatante de la lanterne de l'atelier, oubliant pour un moment le poids de la guerre qui pèse sur leurs épaules. Alors que leur amour grandit, le périple d’Andréa devient de plus en plus compliqué. La prophétie attend d’être accomplie, la guerre semble inévitable. Mais Andréa ne laissera pas le destin sceller leur sort sans combattre. Armée de son amour pour Eos et de sa détermination inflexible, elle se prépare à affronter l'avenir et à déchiffrer les secrets pour sauver les deux peuples de l'annihilation totale. Pendant ce temps, Eos, captivé par le courage de sa bien-aimée et partageant sa résolution, promet son soutien dans cette quête de rédemption. Il jure qu'ensemble, ils braveront l'orage de la guerre, déchiffreront l'énigme de la prophétie et aboliront la malédiction qui menace leur survivalité.