Les jours qui suivirent furent remplis d'une attente palpable, les rebelles se préparant pour l'assaut final contre le tyrannique Leidaris. Delvin, le guerrier épris de Maelis, se révélait être un tacticien avisé, affinant à chaque répétition leur stratégie attaque. Videl, l'irrévérencieux mais incorruptible ami de Maelis, suma l'art de la dissimulation et du sabotage, prêt à tout risquer pour assurer leur victoire. Quant à Maelis, la jeune paysanne guidée par la flamme de la liberté, elle trouvait un réconfort inattendu dans le soutien des rebelles et des ses amis. Ils étaient devenus sa deuxième famille, leurs sourires et leur espoir étaient devenus son bouclier face à la peur. La veille de l'attaque, alors que le soleil se couchait derrière le paysage dévasté de Belféor, un silence respectueux tomba sur le camp des rebelles. Leur futur était incertain, mais une seule chose était claire: ils étaient prêts à tout pour regagner leur liberté. Un grand banquet fut organisé, le sourire sur chaque visage trahissant la tension sous-jacente. Haldor, avec sa voix tonnante, porta un toast à la bravoure des rebelles et à la mémoire de ceux qui avaient péri pour leur cause. Ce fut un moment poignant qui renforça la détermination de chacun à affronter le danger qui les attendait. Alors que la nuit tombait, les alliés trouvaient du repos avant l'aube décisive.